Nous venons de retrouver cet article publié au Maroc en 2004
Source
Leïla menace de s'immoler devant l'Elysée
Rue du Faubourg-Saint-Honoré, 3 décembre 2003
En février 2003, Leïla Bouachera se met en congé du Conseil supérieur de l'audiovisuel, après y avoir travaillé pendant dix-sept ans. Juriste multimédia, elle s'est intéressée très tôt à un sujet sensible que les autorités françaises ne semblent pas pressées de traiter. Le sujet ? Les chaînes islamistes et leurs programmes. En 1995, elle rédige un rapport sur les chaînes arabes et turcophones pouvant être diffusées en France par satellite. Elle évoque une chaîne privée libyenne, Euratel TV, dont « les programmes présentent soit des psalmodies du Coran, soit de la propagande révolutionnaire ». A l'époque, d'autres chaînes, la saoudienne MBC, la pakistanaise Muslim TV, l'égyptienne Nile TV, ne présentent à ses yeux pas de caractère subversif.
Mais Leïla Bouachera est l'une des premières à dire que «les risques de manipulation des puissances étrangères sur les populations concernées existent, d'autant que le nombre de paraboles de réception directe ne cesse d'augmenter, notamment dans les banlieues». Elle ajoute un point qui, avec le temps, se révélera exact : « Ces diverses chaînes diffusent en langue arabe, ce qui peut compromettre les années d'effort d'alphabétisation et de francisation de ces populations. De plus, la nature religieuse de certains programmes accentuera probablement la tendance à l'islamisation dans les cités, et risque de renforcer le discours propagandiste des groupuscules intégristes. » Depuis, avec le succès d'Al Jezira et d'Al Arabya, les services de renseignement français ont analysé un autre effet pervers sur certains spectateurs en France : ne comprenant pas l'arabe, certains ne regardent que les images.
Dépourvues du commentaire, leur violence n'en échauffe que plus les esprits.
L'un des collègues de Leïla Bouachera explique qu'elle n'a « cessé de rédiger des rapports alarmistes sur ces chaînes avant le 11 septembre, mais la hiérarchie n'en avait rien à faire ». Après le 11 septembre, le sujet devient sensible. Celle-là même qui a tiré la sonnette d'alarme en est écartée. Au lieu de prendre cette contrariété professionnelle avec philosophie, la jeune femme en est meurtrie.
Alors elle se met à tout interpréter à cette aune. Titulaire d'un doctorat en droit international, d'une maîtrise en sciences économiques et d'une licence en langues orientales, elle vit mal l'échec de la politique d'intégration en France, comme si elle-même était visée. Une réminiscence motive sa rancoeur. En 1990, le Quai d'Orsay avait refusé de lui envoyer le dossier d'un concours d'entrée. Ce qui est parfaitement choquant. La France, au goût de Leïla, ne la récompense pas à hauteur de ses mérites.
Lorsque Nicolas Sarkozy évoque la nomination d'un «préfet musulman», elle a beau ne pas se sentir musulmane, ne pas présenter tous les critères, elle se verrait bien dans la place. A tout le moins profiter de l'ascenseur social rapide de la « discrimination positive ».
Mais ses candidatures, quelque peu fantasques, sont rejetées les unes après les autres. Elle s'obstine à téléphoner à une conseillère de Nicolas Sarkozy, et même à Cécilia, l'épouse du ministre. Encartée à l'UMP, elle ne tolère pas l'indifférence du pouvoir à sa personne.
Maintenant, sa rage déborde. Le 1er décembre 2003, Leïla Bouachera envoie un fax comminatoire à Blandine Kriegel, conseillère de Jacques Chirac à l'Elysée, avec copie à la fille du président, Claude Chirac. Elle menace ni plus ni moins de s'immoler par le feu rue du Faubourg-Saint-Honoré devant l'Elysée, et cela deux jours plus tard, le jour du vingtième anniversaire de la réception de la Marche des beurs par François Miterrand.
« C'était une plaisanterie », jure-t-elle aujourd'hui. A la présidence de la République et au ministère de l'Intérieur, on ne se souvient que trop des immolations des moudjahidine du peuple, un mouvement marginal mais qui a des adeptes en France, devant les caméras de télévision, après une opération de police à l'automne 2003. La perspective d'un suicide en place publique et devant le palais présidentiel ne fait sourire personne. Surtout pas l'un des principaux conseillers de l'Elysée, l'ancien préfet de police Philippe Massoni, chargé des questions de sécurité.
Le 2 décembre, à 19 heures, Leïla Bouachera lit Le Monde chez elle. On sonne à sa porte. Ce sont une vingtaine de policiers, en civil et en tenue. Elle a tout juste le temps de revêtir un manteau de vison sur son pyjama avant d'être embarquée en panier à salade vers le commissariat central du 17ème arrondissement. La voilà ensuite emmenée à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police, dans une pièce sans fenêtre et sans eau.
Leïla Bouachera hurle à la «détention arbitraire». De fait, un comité de psychiatres signe un ordre de sortie dès le lendemain. Du côté des autorités, peu importe : l'opération a évité qu'elle ne commette un geste le 3 décembre. Les hauts responsables policiers se montrent agacés lorsqu'on les interroge sur cet épisode. Et Nicolas Sarkozy fait mine de ne jamais en avoir entendu parler. Ce qui est peu probable.
Pendant plusieurs mois après sa sortie, l'ex-cadre du CSA nargue l'appareil d'Etat en menaçant de faire des révélations sur la DGSE. De fait, elle a eu des contacts avec l'ancien directeur du renseignement, Alain Juillet, à qui elle avait proposé ses services, promettant des informations sensibles sur une chaîne de télévision arabe pouvant être infiltrée par des islamistes violents. Un officier traitant de la DGSE la rencontre à plusieurs reprises. Après réflexion, le service se méfie et décide de se passer d'elle.
Pour arranger l'affaire, un haut conseiller de Jean-Pierre Raffarin, le préfet Pierre-Etienne Bish, la reçoit en lui enjoignant de se calmer. Il aura vraiment fallu la mobilisation de l'appareil d'Etat pour la neutraliser. Mais avait-elle tort sur le fond ?
Note :
dans plusieurs de ses courriers elle se vante d'avoir été officier de la DGSE ...
La mythomanie force 10/10
Jacques,
Je suis un ancien officier de la DGSE, je suis gentille mais pas naïve. Pour les medocs je pourrais appeler mes collègues du "quai" et les faire passer à notre ambassade par la valise diplomatique!
---- Message d'origine ----
De : "webmaster AIR"
À : lilabb@netcourrier.com
Objet : Re[2]: documents
Date : 05/12/2011 21:34:57 CET
Morphinomane 10/10
Bonsoir Jacques,J'ai bu vos paroles sur le cerveau. Wouah!!! c'est magique. Le corps humain est parfait et parfaitement logique. Depuis 4 ans on me bourre de morphine pour 6 hernies discales. La seule chose interessante qui m'a été dite, est venue d'un rhumato qui m'a dit que mon cerveau s'emmêlait les pinceaux avec les mauvaises informations, et que sa mauvaise interprétation créé des douleurs paroxystiques. La douleur était sa réponse à une mauvaise information. Mais comment faites vous pour supprimer les mauvaises informations?
---- Message d'origine ----
De : "webmaster AIR"
À : lilabb@netcourrier.com
Objet : Re[38]: discussion
Date : 04/12/2011 15:08:11 CET
dimanche 19 août 2012
jeudi 9 août 2012
La démolition continue
Maintenant cette dame contacte mes praticiens directement pour leur faire peur.
Elle a demandé à l'un d'eux d'avertir tous les autres (pas si folle que ça mémère) qu'elle connaît personnellement François Hollande, que celui-ci est très fâché contre moi parce que "j'aurais publié une photo de Ségolène en petite tenue sur le Net" ! Mort de rire.
Alors il aurait décidé de faire interdire la pratique de ma méthode en France, rien que ça.
Elle demande donc à ce praticien d'avertir tous les autres qu'ils ne pourront plus pratiquer mes techniques.
Après m'avoir accusé d'avoir assassiné mon fils Frank pour pouvoir inventer 20 ans plus tard une méthode me permettant d'escroquer les malades (surtout que je ne touche pas un sou sur les soins pratiqués par les praticiens) ; d'avoir violé ma fille ; d'avoir battu un autre fils qui ne portait pas mon nom ; d'avoir abandonné mon père (mis sous tutelle judiciaire) pour mieux lui voler son argent ; grâce à elle si j'hérite de mon père (?) ; créer une commission parlementaire pour enquêter sur moi ; dévoilé le nom du père de l'enfant de Rachida Daty ; ancien officier de la DGSE ; Docteur en médecine ; la liste est trop longue pour être racontée ici.
Le problème avec une personne dérangée, c'est qu'il n'y a aucun moyen de bloquer ses actions délirantes sur Internet, il me restera une action en Justice à la rentrée des vacances judiciaires.
Déjà elle a perdu d'avance pour la prise de dépôt de marque en utilisant mon nom, un magistrat, un avocat et le ministère des finances me l'ont confirmé :
- article L. 712.6 du CPI. Cet article prévoit que "Si un enregistrement a été demandé soit en fraude des droits d'un tiers, soit en violation d'une obligation légale ou conventionnelle, la personne qui estime avoir un droit sur la marque peut revendiquer sa propriété en justice". De plus l'article L.711.4-g protège l'utilisation du nom patronymique d'un tiers.
Je ne compte demander que les dépens pour moi, mais 50.000 Euros de dommages et intérêts dont l'intégrité sera versée aux orphelins de la police.
Ses messages diffamatoires sur les forums, sa tentative d'escroquerie à l'héritage, ses menaces diverses, ne serviront qu'à démontrer que la prise de marque est une escroquerie calculée.
Pourtant elle se dit "juriste internationale" "Docteur en droit", candidate aux Présidentielles 2012, menacée de mort, son salaire bloqué par l'Elysée pour qu'elle retire sa candidature, etc.
J'ai été assez naïf pour croire à ça, naïf au point de lui faire un virement de 1.000 Euros pour qu'elle puisse payer son loyer ... du fait qu'elle avait investi "toutes ses économies dans sa campagne" (hormis un blog gratuit).
Je lui ai pourtant proposé de fermer immédiatement ce blog, dans la mesure où elle irait annuler le dépôt de marque. Mais non, elle m'a juré qu'elle me détruirait totalement ...
Michel Audiard disait "Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière."
Elle a demandé à l'un d'eux d'avertir tous les autres (pas si folle que ça mémère) qu'elle connaît personnellement François Hollande, que celui-ci est très fâché contre moi parce que "j'aurais publié une photo de Ségolène en petite tenue sur le Net" ! Mort de rire.
Alors il aurait décidé de faire interdire la pratique de ma méthode en France, rien que ça.
Elle demande donc à ce praticien d'avertir tous les autres qu'ils ne pourront plus pratiquer mes techniques.
Après m'avoir accusé d'avoir assassiné mon fils Frank pour pouvoir inventer 20 ans plus tard une méthode me permettant d'escroquer les malades (surtout que je ne touche pas un sou sur les soins pratiqués par les praticiens) ; d'avoir violé ma fille ; d'avoir battu un autre fils qui ne portait pas mon nom ; d'avoir abandonné mon père (mis sous tutelle judiciaire) pour mieux lui voler son argent ; grâce à elle si j'hérite de mon père (?) ; créer une commission parlementaire pour enquêter sur moi ; dévoilé le nom du père de l'enfant de Rachida Daty ; ancien officier de la DGSE ; Docteur en médecine ; la liste est trop longue pour être racontée ici.
Le problème avec une personne dérangée, c'est qu'il n'y a aucun moyen de bloquer ses actions délirantes sur Internet, il me restera une action en Justice à la rentrée des vacances judiciaires.
Déjà elle a perdu d'avance pour la prise de dépôt de marque en utilisant mon nom, un magistrat, un avocat et le ministère des finances me l'ont confirmé :
- article L. 712.6 du CPI. Cet article prévoit que "Si un enregistrement a été demandé soit en fraude des droits d'un tiers, soit en violation d'une obligation légale ou conventionnelle, la personne qui estime avoir un droit sur la marque peut revendiquer sa propriété en justice". De plus l'article L.711.4-g protège l'utilisation du nom patronymique d'un tiers.
Je ne compte demander que les dépens pour moi, mais 50.000 Euros de dommages et intérêts dont l'intégrité sera versée aux orphelins de la police.
Ses messages diffamatoires sur les forums, sa tentative d'escroquerie à l'héritage, ses menaces diverses, ne serviront qu'à démontrer que la prise de marque est une escroquerie calculée.
Pourtant elle se dit "juriste internationale" "Docteur en droit", candidate aux Présidentielles 2012, menacée de mort, son salaire bloqué par l'Elysée pour qu'elle retire sa candidature, etc.
J'ai été assez naïf pour croire à ça, naïf au point de lui faire un virement de 1.000 Euros pour qu'elle puisse payer son loyer ... du fait qu'elle avait investi "toutes ses économies dans sa campagne" (hormis un blog gratuit).
Je lui ai pourtant proposé de fermer immédiatement ce blog, dans la mesure où elle irait annuler le dépôt de marque. Mais non, elle m'a juré qu'elle me détruirait totalement ...
Michel Audiard disait "Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière."
lundi 6 août 2012
La folie furieuse
Notre mythomane morphinomane a décidé de me salir et de saccager ma réputation et celle de ma méthode.
Par exemple sur le forum Auféminin.com elle est en plein délire, m'accusant de n'importe quoi et me menaçant de "créer une commission d'enquête parlementaire" !!
J'ai effectué des copies d'écrans pour pouvoir les fournir à la Justice à la rentrée de Septembre et éviter que ses messages disparaissent quand les régulateurs du forums se réveilleront enfin.
Un exemple
Elle prend des noms de domaine avec mon nom de famille et des extensions diffamatoires, c'est la folie complète et j'espère qu'elle se retrouvera internée pour faire cesser ses nuisances.
Par exemple sur le forum Auféminin.com elle est en plein délire, m'accusant de n'importe quoi et me menaçant de "créer une commission d'enquête parlementaire" !!
J'ai effectué des copies d'écrans pour pouvoir les fournir à la Justice à la rentrée de Septembre et éviter que ses messages disparaissent quand les régulateurs du forums se réveilleront enfin.
Un exemple
Elle prend des noms de domaine avec mon nom de famille et des extensions diffamatoires, c'est la folie complète et j'espère qu'elle se retrouvera internée pour faire cesser ses nuisances.
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